Le Cercle K2 pour décloisonner toutes les approches de la sécurité

Le cercle K2 est un « think tank » / « do tank », qui rassemble dans une dimension multidisciplinaire les experts et professionnels capables d’aider les décideurs publics et privés à anticiper les risques économiques pour leur permettre de développer leurs activités. En effet, notre monde est devenu « celui des confluences » : l’émergence de nouveaux acteurs et de nouveaux modes d’action brouille les anciennes lignes de partage et remet en cause les institutions qui jusqu’ici constituaient l’ossature de nos sociétés. Pour une entreprise comme pour un Etat, la sécurité doit désormais se concevoir de manière globale.

Alors que l’on aurait tendance à confier chaque problème à un expert, participant à ce mouvement de cloisonnement et de complexification, il est essentiel d’apporter une cohérence globale pour permettre une réponse appropriée à des problématiques qui ne sont pas que sectorielles. Le général Jean-Pierre Meyer, président du cercle K2, explique avoir voulu « informer et former » tout dirigeant des nouveaux enjeux d’un monde qui n’est plus celui de la Guerre Froide ni même celui de la post- Guerre Froide. Dans cette tâche, cet ancien de Saint-Cyr qui fut notamment directeur au Comité interministériel du Renseignement, peut compter sur plus de 300 membres fondateurs et experts dans le secteur de la maîtrise des risques, avec des profils aussi divers que l’avocat Jean-Michel Icard, le président de l’institut Léonard de Vinci Driss Aït Youssef, le directeur délégué de l’innovation de GDF-Suez Bernard Archilla, le directeur de la sûreté de Veolia Jean-Louis Fiamenghi ou encore la directrice du développement de Groupe PlaNet Finance Vanessa Mendez.

En proposant à ses adhérents des études et analyses dans tous les domaines (sciences, économie, médias, justice…), le cercle K2 se veut ainsi un espace ouvert de compréhension et de coordination de ceux qui se débattent au cœur du nouvel écosystème mondial. Loin de prétendre conceptualiser et classifier les nouvelles tendances, il s’appuie avant tout sur l’examen de questions pratiques, à même d’apporter des réponses opérationnelles à des problèmes concrets.