Antidox a édité une étude relative à la controverse pro et anti-vaccins, en collaboration avec Nile. Son principal message, repris par Le Figaro Santé, est le suivant : « Les opposants à la vaccination sont très actifs sur Facebook et Twitter, éclipsant les messages officiels. Chaque jour, des dizaines d’articles alarmistes et de témoignages mettant en cause l’utilité et l’innocuité des vaccins circulent sur les réseaux sociaux. Très anxiogènes, ces discours n’ont aucun fondement scientifique, et ils continuent de colporter des idées reçues invalidées depuis des années par les spécialistes de la santé publique. Ils sont le fait d’une poignée de militants très actifs, qui fédèrent autour d’eux des communautés entières sur Facebook ou Twitter. » (Lire la suite de l’article sur Le Figaro)
L’étude fait aussi l’objet d’un reportage sur France Inter, dans l’excellente émission « Interceptions » consacrée au sujet, mais aussi d’analyses dans L’Opinion et Le Quotidien du médecin.
La santé, la médecine, la recherche médicale et biotechnologique sont au cœur de nombreuses controverses qui agitent les réseaux sociaux : les fake news, théories du complot et stratégies de désinformation sont nombreuses dans ce secteur crucial. Dans le cadre de son engagement à renforcer la qualité de l’espace public numérique, Antidox a souhaité contribuer à alerter les institutions, les médecins et les public des risques que constitue cette mauvaise information pour la santé de chacun.
L’étude a fait l’objet d’une présentation lors d’un colloque à l’Institut de France consacré à la réduction des risques. On en retrouve un extrait dans l’ouvrage qui a été publié à la suite de ce colloque.
